La statue de Savorgnan de Brazza devant son mémorial.
Esplanade aménagée avec en arrière plan Kinshasa.
Le fleuve congo et vue sur la RDC
Pirogue de pêcheurs sur le fleuve Congo.
La corniche, voie rapide qui permet de contourner une partie du centre ville.
Brazzaville, ville verdoyante et calme.
Brazzaville et ses quartiers d'affaires.
Pirogues de pêcheur. Des bateaux de transport font la traversée entre les deux capitales
Pirogue avec vue sur la mégapole de la RDC.
Le fleuve au sud de Brazzaville
Le transport sur le fleuve se fait en pirogue.
Le fleuve Congo a un fort débit et des courants rapides.
Les courants n'effraient pas les jeunes qui s'y jettent dedans.
Le fleuve avec ses courants.
Lavage des camions également !
L'ancien pont sur un bras du fleuve.
permettant l'accès aux piétons tout endimanchés
Atelier de fabrication de bijoux
Les transports africains sont toujours aussi scabreux, que ce soit sur la tête ou sur les véhicules.
Scène colorée d'une rue périphérique de Brazzaville
Toit de l'église en malachite,
Le Parlement français ratifia l'accord de Savorgnan de Brazza en 1882, tandis que la conférence de Berlin (1884-1885) reconnut les droits de la France sur la rive droite du Congo. Devenu commissaire général, Pierre Savorgnan de Brazza réunit le Congo et le Gabon sous son autorité, puis étendit les possessions françaises vers le nord. La colonie du Congo français fut créée en 1891 et des compagnies concessionnaires se partagèrent le territoire pour exploiter les ressources (caoutchouc et ivoire). Ces compagnies se livrèrent à toutes sortes d’exactions: réquisitions, pillage des ressources, travail forcé, brutalités, assassinats, etc., ce qui eut pour effet de susciter des révoltes, toutes réprimées dans le sang.
La construction de centrales hydrauliques sur ce fleuve permettrait d'alimenter pratiquement tout le continent !
Le fleuve sert aussi à la lessive.